Il vous ai tous arrivés au moins une fois (voire plus) de critiquer une personne, de façon cordiale bien-sur, vous etes des gens civilisés, je me doute bien…hurm…^^

Suite à cela, vous dites en rigolant: "Le pauvre, il doit avoir les oreilles qui sifflent"…Du coup, dès qu’on entend un sifflement, on devient parano, on se dit qu’on dit du mal de nous…Ou alors on ne se dit rien du tout puisqu’il est foncièrement impossible qu’on dise du mal sur notre humble personne ;).

Enfin bref, pourquoi a-t-on les oreilles qui sifflent?

Tout d’abord, un peu d’étymologie: il semble que l’expression "avoir les oreilles qui sifflent" vienne du 15ième siècle, et à l’époque se disait: "avoir les oreilles qui cornent". Tiens les oreilles qui cornent, y’aurait-il un rapport avec le fait qu’un cocu ait des cornes…^^

En réalité, ce phénomène de sifflements peut etre expliqué de plusieurs manières. Ces sifflements sont appelés des acouphènes. Il en existe plusieurs types.

Tout d’abord, nos oreilles peuvent se mettre à siffler suite à leur exposition à des sons très élevés en décibels, comme après une grosse soirée, un concert, ou un bruit d’origine professionnel répétitif et élevé. Ces sifflements sont donc ici produits par un bruit réel et mesurable, qui vont par la suite entrainer une anomalie dans la région de l’oreille interne contenant l’organe de l’audition: la cochlée. Du coup, l’anomalie entraine un disfonctionnement vasculaire, des contractions musculaires au niveau de cette colchée, et paf ça fait des chocapic dans les oreilles… C’est moins fun du coup les chocapic ;).

Ensuite, il y a les acouphènes subjectifs ou les sons fantomes comme on dit, car ils ne sont réels que dans le système auditif des personnes qui les perçoivent… Les voix dans la tete, ça, ça s’appelle de la schizophrénie, ne pas confondre ^^. Ici, les acouphènes vont être défini par des bourdonnements ou des à sifflements entendus dans une ou deux oreilles, voire dans la tête de la personne concernée, en l'absence de toute source sonore dans le milieu environnant.

Ces sifflements apparaissent souvent suite à un traumatisme sonore brutal, un traumatisme crânien, ou au vieillissement. Ils sont en fait dû à la production d’un signal nerveux anormal au niveau des voies auditives. Le mauvais signal nerveux est traité et interprété alors comme un bruit lorsqu’il atteint le cortex auditif. Le stress, la fatigue ou la maladie va amplifier ce mauvais signal ou en augmenter la fréquence, d’ou le fait que certaines personnes soient plus ou moins sujettes à ce type de désaggrément.

Ainsi, lorsque l’acouphène devient constant, il ne révèle donc pas que les autres passent leur vie à nous critiquer, mais qu’il est possible qu’il y ait un problème sous-jacent plus grave, dnas ce cas, consultez votre médecin .

Alala, je me mets même à donner des conseils, si ce n’est pas magnifique cela…Les chevilles qui enflent moi? Non, mais on parle d’oreilles qui sifflent là, ne vous dispersez pas m’enfin ^^…Tiens j’entends un bourdonnement…Du mal de moi? Non, cela est surement du au fait que je suis une rockstar la nuit ;)…

Lorsqu’on dit aphrodisiaque à un européen, ou caucasien en général, il va répondre : huitres, chocolat et…gingembre. On nous vend des huiles de massages et autres accessoires érotiques en nous ventant les propriétés aphrodisiaques de leur ingrédient secret zingiber, de son petit nom latin.

Mais qu’en est-il vraiment ? Le gingembre est-il un aphrodisiaque ?

Tout d’abord, en chinois, « gingembre » signifie « virilité ». Dans beaucoup de cultures, le gingembre est associé à Oulala, mais la plupart des légendes et croyances  de cette épice viendrait en premier lieu de la forme phallique de la racine. Si vous ne comprenez pas l’allusion, je vous conseille d’ouvrir un bouquin de botanique sur le gingembre ou alors un Kama Sutra ;p.

En 1944, les docteurs Tran Ky et F Douard dans “Les Aphrodisiaques, un peu, beaucoup, passionnément…” ont dit que « un afflux brutal de sang vers l’organe et créer des bouffées de chaleur qui illuminent le corps et les sentiments »… Intéressant.

Plus sérieusement, le gingembre a des propriétés vasodilatatrices et tonifiantes reconnues qui peuvent particulièrement agir sur les organes du bassin et apporter à ceux qui en manquent, vigueur et dynamisme, mais d’un point de vue général, pas uniquement sexuel.

D’où un meilleur afflux de sang combiné à un meilleur dynamisme permettait d’être plus réceptifs à nos propres désirs et de céder à nos pulsions (ahah). Enfin, le gingembre (à consommer cru pour profiter de ses propriétés) n’est ni du viagra, ni un philtre d’amour, hein…D’où calmez-vous les gens et ne croquer pas à pleines dents une racine de gingembre fraiche…Quoi que ça pourrait être marrant puisque son goût, certes savoureux et citronné, est tout de même piquant et « hot » comme dirait nos amis anglo-saxons.

Ensuite, il est intéressant de savoir que le gingembre contient des gingérols, molécules à l’origine de la saveur piquante, mais aussi qui auraient une action bénéfique sur la fertilité masculine en augmentant le volume de sperme et en améliorant la mobilité des spermatozoïdes.

Alors même si le gingembre a de vrais propriétés dynamisantes et contribue à réchauffer nos sens (oulala ^^), il a surtout un aspect psychologique, un placebo érotique ou alors une excuse a une soudaine envie…

Sur ce, je vous laisse méditer, tester ce gingembre que je vous conseille, rosé avec des sushis et du champagne ;p.

Alors oui bien sûr vous allez me dire « oh mais damned je ne bois jamais, je suis outré »…Oui bien sur je compr…Bon, je ne suis pas crédible, on arrête l’hypocrisie et on en revient au sujet principal : pourquoi l’alcool nous rend ivre…

C’est vrai pourquoi d’un coup, nous sommes désinhibés youhouuu… C’est dû à nos petites cellules nerveuses qui nous permettent de réfléchir, agir etc… Pour résumer tout d’abord, l’alcool va agir comme un virus sur un ordi et pirater les infos qui parviennent à notre cerveau…

Plus spécifiquement, dans notre cerveau, les infos (coordination des mouvements, langage, temps de réaction par exemple) circulent grâce à des substances chimiques : les neurotransmetteurs qui vont eux être reçus par leurs récepteurs situés sur nos tites cellules nerveuses… Ca c’est ce qui se passe dans un état sobre ;p… Quand on boit de l’alcool, qui passe facilement et rapidement dans le sang, donc qu'on absorbe de l’éthanol, et là ça se complique…et oops ou hips…^^

L’éthanol va se fixer sur les récepteurs des neurotransmetteurs (nommés récepteurs NMDA ou N-methyl-D-Aspartic acid) au niveau de nos synapses (c'est-à-dire les zones d’échanges d’infos entre nos neurones, ce qui devient compliquer pour certains qui n’en ont qu’un xD), et va pirater le message nerveux, soit en le amplifiant, soit en le diminuant. Or les récepteurs bloqués par l’éthanol sont ceux des synapses contrôlant nos divers comportements, d’où cette modification du comportement après un ou deux (ou plus) petits verres…

Les problèmes moteurs sont aussi dus à notre pauvre cerveau mal informé qui comprend plus rien de ce qui lui arrive… En temps normal, notre oreille interne informe notre cerveau, permet à notre corps de se maintenir en équilibre, et coordonne le rattrapage (pas tout le temps ça :p) avec nos pieds et nos mains. Mais ce petit vilain d’alcool, il va fausser ces infos d’équilibre arrivant à notre cerveau, et du coup, on a avoir une démarche titubante… Pour faire une petite private joke : « la liiiiiiigne, on se va se Colisée » ^^

De même, si on a tendance à voir trouble en plus de dire des choses imbéciles tel que "Je vais m'assoir comme ça je serais assis et j'aurais pas à m'assoir" ou "Je suis bourré ça me soule!!", c’est que les infos envoyées par la rétine sont aussi faussées, et du coup notre cerveau, il ne peut plus fusionner les images (il est pas doué aussi).

Pour finir, parlons gueule de bois… Tout simplement due à une forte déshydration, puisque l’éthanol va aussi bloquer la production d’hormone antidurétique qui régule l’envie de pipi entre autre… On va produire plus d’urine qu’on absorbe d’eau (je me rends compte que cette phrase est très glam xD)…D’où on est assoiffé le lendemain (et pas à cause d’une soudaine tendance vampirique à mon désespoir :p)… Bien sûr vous allez me dire… « Non, gueule de bois, Moi ? Jamais…Je tiens l’alcool… » Pareil…Rappelez-moi cependant que quand je commence à parler anglais, c’est que mes neurotransmetteurs sont trop bloqués, y’a des embouteillages, et que leurs klaxons vont me donner mal de crâne le lendemain ;).

Si je vous dis chocolat, ça dit quoi ? Goûter, desserts, gourmandises, tablettes de chocolat, aphrodisiaque... Même si ces deux derniers mots clés sont assez synonymes (ahah xD), le chocolat est toujours associé à MIAM ! Mais la question que tout le monde se pose et surtout les filles quand elles pensent à leur ligne, c’est pourquoi oh grand dam et désespoir le chocolat rend accro ?

Beaucoup diront que c’est psychologique, ou alors c’est tout simplement parce que c’est trop bon, ce qui pour moi est une excuse suffisante ;), mais en vrai il y a une excuse scientifique au besoin de se délecter de ce délice des papilles.

Le chocolat est en effet composé de diverses molécules utiles telles que le magnésium, le phosphore, le potassium, le fer, et stimulantes, telles que la théobromine analogue de la caféine. Mais les molécules du chocolat qui nous intéressent ici, ce sont la phényléthylamine et le tryptophane, ce dernier étant un précurseur de la sérotonine. La phényléthylamine et la sérotonine sont des molécules considérées comme des molécules du bonheur, des sentiments, et présents dans les anti-dépresseurs. Elles augmentent les taux d’endorphines dans le corps, c'est-à-dire, de la morphine naturelle.

Après, mais c’est encore en pour parler auprès de la recherche scientifique, il y aurait présence, à très faible dose, d’anandamide, qui est un cannabinoide. Alors pour ceux qui ne ferait pas le rapprochement, le THC ou Tétra-Hydro-Cannabinol est aussi un cannabinoide et est la molécule active du Cannabis. Ceci pourrait expliquer l’effet euphorisant du chocolat, mais la quantité présente dans le chocolat est vraiment infime, donc cette hypothèse pour justifier l’addiction au chocolat reste encore à démontrer.

Je vais donc devoir me sacrifier et tester cette hypothèse addictive du chocolat en dévorant une tablette de chocolat noir 70% avec pépites de framboises...Huuum c'est vraiment pas facile tous les jours de répondre aux questions existentielles...;)

Dans le genre question existentielle de gamins à ses parents : « dis papa pourquoi le ciel est bleu ? » Ce que le père répond de manière concise et rationnelle (lol) : « C’est étudié pour » ou plus sexiste : « Demande à ta mère ».

Du coup hein, pourquoi le ciel est bleu ? C’est vrai que vert ce serait bizarre, rose trop pays des Bisounours et jaune tout le monde serait hypocrite (tiens pourquoi le ciel n’est pas jaune ;p)…

En vrai, si le ciel est bleu, y’a une raison autre que esthétique. Tout d’abord, techniquement il n’est pas bleu le ciel, il est noir. C’est l’atmosphère qui fait sa maligne et qui joue avec les couleurs. Sans atmosphère, le ciel est noir, comme nos amis les martiens peuvent le voir de leur planète.

Nous, humbles terriens, on a une tite atmosphère sympa, qui nous permet accessoirement de respirer, mais qui est surtout composée de pleins de molécules, de poussières et minis gouttelettes d’eau. Tout ça va jouer sur la lumière provenant du Soleil. Si vous ne le saviez pas, la lumière du Soleil est blanche, car elle est constituée de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Rappelez vous, en primaire ou maternelle, vous faisiez des toupies avec du papier et un crayon, disque de papier de 7 couleurs, et quand ça tourne, whaouuuuuh magie c’est blanc !!!!

L’atmosphère va agir comme un filtre, et va laisser passer que certaines longueurs d’ondes, c'est-à-dire couleurs, selon sa composition. Du coup les molécules d’air vont permettre le passage des longueurs d’onde les plus courtes : les vertes et bleues aux dépends des longueurs d’ondes rouges… Tada le ciel il est bleu !!

De la même manière, lorsque le Soleil se couche ou se lève, il est à l’horizon. Dans ce cas, la lumière du Soleil va traverser une épaisse couche d’air qui va alors diffuser au maximum. Du coup, quand la lumière nous arrive, elle est en grande partie débarrassée de ses longueurs d’onde bleues et le rouge reste. Le Soleil nous apparait oranger et le ciel rouge et rose.

Sur ces derniers mots le soleil se couche et moi je finis mon article...Ouais trop synchro...Que voulez-vous, c'est le talent :p

Alors pr emière question d’un visiteur, une dans ce cas : pourquoi a-t-on des "papillons" dans le ventre lorsqu'on est très attiré par quelqu'un?

Alors question pointue, car elle met en jeu un sentiment, et ça déjà ce n’est pas hyper rationnel !! Du coup, répondre de manière totalement objective risque d’être corsé :D.

Alors parlons « papillons », certains les décriront tel un fond de stress associé à une forte excitation, d’autres des étoiles dans les yeux, avec un sourire béat voire idiot, ou encore les mains moites, le ventre qui se serre, le feu aux joues, le cœur qui s’accélère…

Personnellement les « papillons » dans le ventre, ça ne me parle pas trop, mais ce qu’on pourrait ressentir peut s’expliquer par une contraction du muscle entourant l’intestin grêle. La contraction va être appelée onde péristaltique et va être déclenchée suite à de la peur ou à une émotion forte. Alors moi je dis, attention aux « papillons » dans le ventre, parce que cela peut être soit une indication d’une compatibilité hormonale, soit un signal d’alarme de notre corps & esprit pour nous dire « mais fuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, c’est un(e) crétin(e) ». Ou alors vous êtes constipés, et vous confondez « papillons » & gaz intestinaux xD… Pour ce dernier cas, euh je peux rien faire pour vous, mais sinon il semblerait qu’il faudrait dans un cas comme dans l’autre, écoutez ses « papillons », mais savoir à quoi ils correspondent…

« Les Papillons dans le ventre » sont donc une réponse physiologique à un coup de cœur, même si c’est plutôt un coup d’hormones, une décharge de « molécules de l’amour » et de l’attirance physique…Mais ça, ce serait pour un prochain billet…Et qui sait, vous aurez peut être des « papillons » dans le ventre en lisant ce prochain article :p…

Pourquoi rêve-t-on ? Pourquoi notre cerveau nous montre des images, de belles images, de tristes images, mais aussi des images dénuées de sens total.  Pourquoi notre esprit divague de façon extravagante ? En quoi rêver que l’on est la reine des fées subissant un coup d’état par un lutin malfaisant en nous enfermant dans un pot de moutarde géant est-il bénéfique d’un point de vue physiologique pour notre cerveau ? Moi depuis, je ne peux plus regarder un pot de moutarde de la même façon xD...Freud & Jung auraient des explications très intéressantes et pas vraiment rationnelles à me donner, mais personnellement, je reste septique.

D’un point de vue plus scientifique, les rêves ont lieu pendant le sommeil paradoxal. Ce sommeil et les rêves ont pour rôle de consolider la mémoire de l’individu, c’est pour ça que plus on vieillit, moins on rêve. De même, les rêves permettent au cerveau de relâcher la pression, en triant le trop plein d’informations emmagasinées dans la journée pour éviter que les neurones grillent. Une question subsiste : les scientifiques ne sont pas encore capable d’expliquer comment le cerveau fait le tri & comment il sait ce qui est parasite ou non.
En fait, c’est un peu ce que le logiciel Click Maintenance fait sur notre ordinateur, il libère de la mémoire et ça c’est cool pour notre matière grise…

Ensuite, il est probable que les rêves permettent de s’évader, dans nos rêves, nous pouvons faire n’importe quoi sans retenue… Mais bon, personnellement j'ai jamais demandé en rêve de jeter des blattes sur des chats volants qui m'attaquaient en nous chiant dessus, ou encore avoir le sujet d'examen suivant: "La Peur de la chaleur au Moyen Age : L'étouffement des lapins par les chaussures de Satan."... Je défis n’importe quel psy, de me donner une interprétation rationnelle de mes rêves… Je ne crois pas en l’interprétation des rêves, mais j'aime bien rêver parce que parfois au réveil je me marre bien :D.

Pour rester dans le thème, je vais aller faire de beaux rêves, en espérant qu'il y ait Clark Kent en mission de sauvetage et que tous ses vêtements auraient brulés...Ah non ça, c'est plus du rêve, c'est un fantasme et ça c'est une autre histoire ;p

Pourquoi pleure-t-on ? La réponse première, « bah parce que t’es triste banane » ! Oui enfin tu pleures aussi bien quand tu as mal que quand tu es heureux… Donc au final, moi je me suis toujours demandée pourquoi pleure-t-on, en quoi pleurer est un avantage physiologique pour notre corps ? 

Tout d’abord, pleurer c’est communiquer, c’est exprimer des signaux évocateurs de nos émotions, telle une sonnette d’alarme, pour que l’interlocuteur adapte son comportement (ou pas si l’interlocuteur est un crétin xD). Ca c’est la raison anthropologique.

Ensuite pleurer pour notre corps ça sert à quoi ? Et bien les larmes sont le lubrifiant des paupières, qui humifie et nourrit en oxygène & en nutriments les composants de l’œil, ce qui permet de lutter contre le desséchement. Les larmes contiennent aussi une molécule antibactérienne : le lysozyme, d’où l’on pleure lorsqu’il y a du vent ou qu’on a une poussière dans l’œil… Pleurer c’est un réflex protecteur face aux molécules potentiellement infectieuses, c’est une protection par évacuation, voire destruction de ces corps étrangers… Mais pas seulement et c’est ça qui est flex en fait :D

Les larmes sont produites en continu par les glandes lacrymales et se répandent à la surface des yeux. Le film lacrymal est renouvelé par le clignement des paupières en moyenne toutes les 10 secondes (je vous donne une excuse les mecs, si une fille ne vous plait plus de plus prêt : "non je ne t’ai pas fait de clin d’oeil, je cligne de l’œil pour renouveler mon film lacrymal…."ahah -_-). Ainsi une émotion intense que ce soit la peine, la joie ou la douleur va envoyer un message aux glandes lacrymales qui vont alors produire plus de liquide lacrymal, ce qui va saturer les voies naturelles d’évacuation de ce liquide, et l’excédent va alors s’écouler de l’œil sur le visage : ce sont les larmes.

Ces larmes contiennent des protéines, telle que la prolactine et des hormones, telle la leucine encéphalique qui a une action anti-douleur naturelle. De plus, les messages nerveux stimulant la production de larmes vont aussi stimuler la libération de neurosubstances anti-stress directement dans notre organisme. Donc en fait, les larmes, ce sont notre soupape de sécurité face à toutes tensions psychiques trop fortes pour éviter que notre tête elle fasse chicalacalacala et BOOM !

Alors pourquoi ne pleure-t-on pas plus souvent ? Pourquoi les femmes pleureraient-elles plus que les hommes ? Scientifiquement parlant, les femmes produisent 4 fois plus de prolactines que les hommes à partir de leur puberté donc elles sont 4 fois plus aptes à stimuler leurs glandes lacrymales si pétage de cable en prévision…Ensuite, anthrologiquement parlant, la société a dit que un homme qui pleure est un homme faible… Imaginez dans la jungle : « Jane, Tarzan fort pas pleurer »… Là Jane elle se sentait protéger (bon elle faisait semblant d’y croire parce qu’il était super canon en plein effort ;p), mais on n’a jamais su la réaction du mâle nu fasse à une épine dans le pied… Les écrivains nous révèlent ce qu’ils veulent mouahahahah. Mais on sait toutes que montrer qu’on est très fort, c’est cacher sa fragilité… Et montrer ses faiblesses, c’est faire preuve de courage… Oh c’est beau ce que je dis…Tiens je vais pleurer pour rester dans le thème :D. 

Bonjour la population... Vous allez vous poser une première question: pourquoi ce blog?

Et bien, je passe ma vie à me poser des questions…

Déjà petite, j’étais une emmerdeuse de premiere genre à

me cacher sous le bureau de la maitresse de maternelle

(hors contexte c’est trop pervers ceque je dis) pour écouter

ses conversations téléphoniques, parce qu’elle ne voulait

jamais répondre à mes questions...

Bref, même maintenant à la fac, les profs

sont fatigués par mes grandes questions

existentielles, que certains me recommandent

de devenir vite chercheur comme ça je

m’emmerderais moi-même avec mes questions…

Donc j’ai décidé de faire un blog pour répondre

aux grandes questions que je me pose et que

beaucoup de gens se posent, d’un point de vue

scientifique et aussi subjectivement marrant: 

histoire que ce soit pas chiant et trop maitresse qui donne son

cours (on en revient toujours à la maitresse tiens ;p)…

En espérant que cela vous plaise...N’hésitez pas à laisser des commentaires

pour demander vos questions, je t’acherais d’y repondre si je le peux

et si je vois un intérêt.

Monna Dege.